1 – Partageons une éthique moins individuelle et plus collaborative.

 

Le but : s’allier pour mieux créer.

 

Toutes les actions qui augmentent la proximité dans la relation client /agence démultiplient les capacités créatives vers l’attente réelle du client. Co-créer aboutit à une ouverture du champ des possibles. Le client est en pleine possession du concept et a les arguments pour défendre le dossier auprès de la gouvernance.

 

2- Définissons clairement les sujets et défendons les options choisies.

 

Le but : affirmer les bases solides du contenu.

 

C’est sur le socle des convictions mais aussi de la transparence que reposent les meilleurs ROI d’un événement.

 

3 – Cherchons des solutions créatives et réalisables dans un cadre donné.

 

Le but : écarter les infaisabilités.

 

Combien d’événements irréalisables ont été vendus et donc pas réalisés ? Ce sont les volets de la compétence et de l’honnêteté qui sont ici soulevés. Être éthique, c’est proposer dès l’appel d’offre un projet réalisable.

 

4- Matérialisons les enjeux RSE en toute simplicité.

 

Le but : prendre du recul sur les impacts.

 

Réfléchir aux impacts peut parfois faire prendre conscience que certains événements n’ont pas de bien-fondé ou auraient pu être organisés différemment.

 

5- Rédigeons une ligne de conduite et respectons-la.

 

Le but : établir un axe qui fédère, concentre et utilise toute l’énergie.

 

D’aucuns appelleraient cela la stratégie et son plan d’action.

 

6 – Regardons à 360 ° pour trouver la voie de la performance et de l’innovation.

 

Le but : être capable de capter les tendances.

 

La Recherche et Développement, associée à l’ouverture d’esprit, est un formidable terreau pour les bonnes idées, les dynamisations, les scénographies originales et finalement les angles d’approches novateurs. Mais, par pitié, évitons le plagiat.

 

7 – Ayons une démarche cohérente.

 

Le but : mettre en phase les valeurs et l’événement.

 

Cette cohérence implique un processus assez codé où l’axe directeur doit être défini en premier, puis décliné dans un second temps.

 

8 – Associons vraiment toutes les parties prenantes.

 

But : ouvrir les horizons, ne rien s’interdire.

 

Le public est bien plus intuitif qu’il n’y paraît. C’est en le considérant et en respectant ses points de vue divergents qu’on le conquiert. Trop de contrôle tue l’authenticité.

 

En somme, la relation humaine authentique et respectueuse est un terrain des plus favorables pour des événements meilleurs.

 

Gilles, Gens d’Evénement – Juin 2019